FACULTÉ DE THÉOLOGIE
ET
DE SCIENCES DES RELIGIONS
Chemin vers le grand silence médiéval de l'Empire Romain depuis 284
jusqu’à 565 en politique de religion, en philosophie de religion et en
littérature de religion
Projet de certaine THESE de Doctorat
présenté à la
Faculté de Théologie et de sciences des religions
de l’Université ...
pour l’obtention du grade de
Docteur ès Théologie
par Alexander KIRIYATSKIY
Directeur de thèse
………………………………………
Co-directeur de thèse
……………………………………….
Rome entre 284 et 565.
Description du premier
chapitre
Le projet de travail que je
présente pour mon admission à l’université s’intègre dans la structure d’un examen
des détails des religions de l’Antiquité Avancée en Europe depuis 284 jusqu’à
567. Ce qui introduira ce même travail portera sur la nouvelle époque, alors
que le pouvoir de l’empereur devient illimité. Le fils de l’esclave affranchi
Valeri Dioclétien (né en 225, règne de 284 à 305) devient le monarque absolu.
Il rompt toutes les liaisons avec le système de principat. Ce dernier se constituait par le pouvoir
du premier sénateur et du premier citoyen. Le principat avait l’autorité
suprême. Depuis 284, la monarchie se transforme en certain Dominat. Elle légitime la tendance autocratique de la dynastie des
Sévères (222-284) officiellement. Notre thèse posera la question: pour quelle
raison et comment l’empereur devient le dominus divinisé de tous les subordonnés malgré leur
origine? En présence de l’empereur depuis 284, tous les sénateurs devaient
tomber à genoux, baiser les extrémités de sa robe pourpre et, plus tard, être à
pied toujours en présence de l’empereur dominus, d’où vient l’origine de l’idéologie de la monarchie
byzantine. Il y a la nécessité de former la hiérarchie des césars plus
inférieurs que les augustes.
Réformes
Dioclétien a divisé l’Empire en 12
diocèses. Chaque diocèse avait ses provinces. Il organisa l’armée en deux
catégories. Cette première devait rester toujours stationnaire à défendre les
frontières. La deuxième catégorie devait être mobile afin de se transférer aux
points nécessaires à l’intérieur de l’Empire. Notre thèse traversera les
parallèles entre la Russie communiste et la transformation du Principat romain
en Dominat. Dans ces deux cas, les représentants des esclaves saisirent le
pouvoir illimité dans leurs mains. De même, Dioclétien remplaçait Jupiter et Lénine avec Staline remplaçaient Jésus Christ. La thèse comparera
leurs relations négatives au christianisme. Nous dévoilerons comment les
communistes se sont inspirés de l’édit des prix maximaux de Dioclétien depuis
301. La deuxième partie de cet édit fixe les salaires maximaux pour tous,
depuis les ouvriers jusqu’aux honoraires des architectes et des avocats (edictum de pretiis rerum venalium). etLa
campagne militaire de Dioclétien et de Galère était contre les persans. Le 1
mai 305 Dioclétien à Nicomédie et Maximien à Milan ont renoncé au pouvoir.
Dioclétien est mort entre 313 et 316. En 305, Galère et Constance étaient
proclamés les augustes.
Culture et religion
La première partie du travail examinera la philosophie
populaire à l’époque de Dioclétien. Nous analyserons le néoplatonisme,
selon l’enseignement de Plotin (203-269) et de sa religion, où s’harmonisaient
les systèmes différents de Platon, d’Aristote et des héritages stoïciens et
pythagoriciens. Notre analyse se fondera sur l’œuvre de Boèce consacré à Parfirius. Nous étudierons le philosophe grec Jamblique de
Colchide (283 – 330) qui a voulu unir toutes les religions des polythéistes. Il
a tenté d’expliquer la magie rituelle philosophiquement. Notre travail
démontrera que ces tendances correspondaient à l’exigence du temps. La
philosophie chrétienne couvre deux tendances. La première se fondait sur la
base de Clément Alexandrin (tué en 215 par l’ordre de Salomé). Il a synthétisé
la culture grecque et la croyance chrétienne. Origène (185-253) a soutenu et
développé cette tendance. En 217, il a organisé son cercle alexandrin. En
outre, les représentants de la deuxième tendance orthodoxe ont condamné la première tendance d’Origène dans
l’hérésie. En 231, Origène a transféré son école
en Palestine. Selon ses trois règles du texte biblique (littérale, morale et philosophique-mystique) Origène est
mort rejeté par l’Église officielle. Le fondateur de la deuxième tendance
orthodoxe Tertullien (160 – 220) a refusé totalement l’héritage du
néoplatonisme et a fondé les idéaux médiévaux. À Rome, le disciple de Méthode
Liquide devient Lactance (250-325) futur éducateur
du fils de l’empereur Constantin. Notre thèse analysera la vie de Lactance à
l’époque de Dioclétien et plus tard.
Description du deuxième chapitre
Le deuxième chapitre de nos études
sera consacré aux problèmes religieux du IV siècle. En 306, l’empereur
britannique Constance Chlore décède et l’armée proclame empereur son fils
Constantin. Galère l’a reconnu césar, mais immédiatement à Rome, où il
introduit l’impôt total, la plèbe et les soldats proclament auguste Maxence
fils de Maximien. La guerre civile commence. Maximien a voulu défendre le futur
de son fils. En outre, il meurt en 310 en Gaule après sa tentative manquée de
recouvrer le pouvoir. L’union de Constantin avec Valéry Licinius célèbre le triomphe
de leur gouvernement. La bataille décisive s’est passée près du Pont Mollien à
Rome. La relation négative de Maxence au christianisme était opposée à la
tolérance religieuse de Constantin. Notre thèse tentera de démontrer que cette
dernière a tué l’héritage de la culture antique. Constantin et Licinius ont
signé cet édit à Milan en 313. Ils dirigeaient l’Empire jusqu’en 324, alors que
les discours politiques provoqueront la guerre civile. Constantin a triomphé
pour régner avec ses fils jusqu’en 337, où le tribunal a exilé Licinius à
Thessalonique, où il a été tué. Pour quelle raison Constantin pouvait décider
les discours dogmatiques du christianisme, alors qu’il n’était pas encore
chrétien? La deuxième partie illustrera 3 hérésies. Ces dernières sont apparues
à l’époque de Constantin. Leurs disciples s’appelaient les donatistes, les préscilianistes et les ariens. En 325, la Cathédrale
Universelle de tous les évêques de l’Empire se réunissait à Nicée. L’empereur
Constantin (encore polythéiste) la dirigeait. Elle a proclamé le symbole de la foi et a formulé les dogmes essentiels
du christianisme, alors qu’il n’appartenait pas à cette religion. La majorité
de ses représentants ont condamné l’arianisme. Ari s’est vu exilé en Illyrie.
La thèse devra analyser le rôle de la Cathédrale de Nicée dans l’évolution de
la société romaine.
Des
autres empereurs du IV siècle et leur politique de religion
Après la mort de Constantin
régnèrent ses fils: Constantin II (337-340) (Flavius Iulius Claudius Constantius né en
317, Constante (337-350), Flavius Iulius
Constans né en 323) et Constance II (337-361). En 351, le moyen fils de
Constantin Constance II a attiré le pouvoir au-dessus de tout l’Empire. Il
était l’aryen et il a obligé Athanase, l’adversaire orthodoxe d’Ari, à quitter
la capitale. Constance II aimait les monuments de l’antiquité polythéiste et à
l’époque de son gouvernement le paganisme n’était pas persécuté. Constance a
envoyé à l’Occident son cousin Flavie Claude Julian pour combattre contre les
alamans. La guerre contre le roi persan Chapour exigeait que les légions de
Julian soient transférées à l’orient. Cette exigence provoqua des troubles
militaires. Julian jeta son armée contre Constance. Il décède à Cilicie. Julian
régnait pendant 3 ans depuis 361 jusqu’à 363. L’historiographie l’a dénigré.
L’histoire l’a appelé Apostat, car le but de toute sa vie consistait dans la
restauration de la vieille religion. Il a privé le clergé chrétien obtenu après
325 à l’époque de Constantin et de ses fils. Julian était populaire parmi les
sénateurs et les intellectuels grecs. En outre, les soldats et le peuple ne le
soutenaient pas. Julian fut blessé après le siège avorté de la capitale persane
Ctésiphon et, avec la retraite, il décéda. L’empereur suivant fut Jovien. Il
devait signer la paix avec les persans et reconnaître l’indépendance de
l’Arménie. Jovien était chrétien. Il a annulé les ordres de Julian contre le
christianisme. Au début de 364, il est mort. L’armée a proclamé l’empereur
Flavie Valentinien I. Il administrait l’Occident. Sa capitale est devenue
Milan. Il a proclamé césar Flavie Valent
pour gouverner la partie orientale de l’empire avec la capitale à
Constantinople. Après la mort de Valentinien I en 375, son fils Gracian pris le
pouvoir. Il s’habillait dans la robe fourrée des barbares. Il était chrétien et
ennemi fanatique de la tolérance religieuse. Il a refusé d’être le premier
pontife du paganisme. Il se trouvait sous l’influence particulière de saint
Ambroise. La thèse analysera l’influence de ce dernier sur l’idéologie de
l’Empire. Gracian a confisqué la propriété de tous les serviteurs polythéiste.
En 382, Gracian a obligé d’emporter, de la curie sénatoriale, la statue de la
Victoire. La majorité des écoles philosophiques et scolastiques était fermées.
Notre recherche étudiera l’Empire des romains barbarisés et sa transformation
en ruines, avant les conquêtes. En 375 et en 376, les visigots reçoivent la
permission de Valent d’habiter dans le diocèse de la Thrace. L’insuffisance de la
nourriture, la vente violente des enfants des visigots comme les esclaves et la
confiscation partielle de leurs armes ont conduit aux pillages des domaines
riches en orient. En 378, la bataille auprès d’Andrinople (entre les visigots
et toutes les armées de Valent). L’armée a essuyé une défaite. Cela s’est
reflété dans l’absence de la possibilité de défendre les frontières étatiques
longtemps. L’historien Amiens Marcellin compare cette défaite avec la bataille
de la République Romaine près de Cannes. Comme la République était réanimée, de
la même façon que Byzance. L’Empire Oriental avait réanimé sa vitalité et, en
400, a pu se débarrasser du Visigoth Gaine gouverné à Constantinople.
L’empereur Arcadie dépendait de lui et avait peur du danger visigotique. En
outre, Byzance a réussi à devenir indépendante. Au contraire, l’Occident a
continué à devenir barbarisé et à perdre son état plastique. Après la mort de
Valent en 379, à Constantinople Gracian a proclamé la victoire de son disciple
orthodoxe Théodose. Notre recherche étudiera le rôle de Théodose dans la
division déterminante de l’Empire: la l’Empire Occidental et Byzance. En 381,
la deuxième cathédrale universelle s’est constituée déjà à Constantinople en
opposition à l’église romaine. En 383,
Gracian est tué. La lutte commence pour le pouvoir entre Valentinien II Mineur
(375-392), Magne Maxime (383-388) et Flavie Victor (384-388). Le sénat romain a proclamé l’empereur Eugénie
(392-394). Comme Julian, Eugénie a tenté d’obliger l’Occident à revenir vers la
vieille religion. Nous posons alors la question: le retour à l’antiquité
pouvait-il sauver l’Empire Occidental?
Le chrétien fanatique Théodose a refusé de reconnaître le néoplatonisme
et les dieux antiques. C’était la raison, pour la quelle, Théodose a jeté
toutes ses légions dans la guerre contre Eugénie a fin d’obtenir le Paradis
après sa mort. En 394, après la bataille sanglante, la plupart des légions
d’Eugénie ont soutenu la politique religieuse de Théodose. Après le triomphe de
394, Théodose a concentré le pouvoir de deux empires dans ses mains jusqu’à sa
mort en 395.
Culture de religion
rès souvent les hommes étaient des
polythéistes dans l’âme et se convertissaient au christianisme, selon
l’avantage qu’il y trouvait. Ammien
Marcellin est l’historiographe du IV siècle. Ammien
Marcellin est arrivé en Italie en 357 avec le général Ursinis. Il a témoigné du
triomphe de Julian en Gaule. En 363, l’historiographe a participé à la compagne
militaire de Julian en orient. Grâce à son héritage historique, nous avons
l’information claire et concise de Julian Apostat. Il a commencé son travail
historique «Rerum gestarum libri XXXI» depuis l’année 96, après la mort de Nerve. Il a
fini sa chronologie à la mort de Valent en 378. Jusqu’ à nos jours on n’a conservé
que 18 livres (XIV-XXXI) d’Ammien Marcellin. Décime
Magne Ausone (310-393) était connaisseur de la littérature, de la rhétorique,
du grec et du latin classique. On considère la «Moselle» comme son
chef-d’œuvre. Il décrit la rivière «Moselle» située à proximité spirituelle des
barbares et ses rives pittoresques avec les raisins. Le premier poète chrétien
de cette époque fut Juventus (Gay Aquilin). On le considère comme le
compositeur du poème épique de 3 200 vers consacrés au christianisme. Hilaire de
Poitiers (mort en 367) a reçu l’instruction supérieure chez les rhéteurs
aquitains. Il manifestait contre Constance I à Constantinople. Le poète le plus
productif de cette époque fut Prudence (348-405). Il a laissé 10 000 vers. Il a
écrit 2 livres contre Symmaque et 20 poèmes opposés au message de Symmaque à
l’empereur. Prudence a critiqué sa défense des valeurs polythéistes. Son
chef-d’œuvre est le «Peristephanon». Nous
soulignerons les approbations littéraires et philosophiques en orient des
écrivains opposés comme Basile de Césarée, appelé également Basile le Grand, né
en 329 et mort le 1er janvier 379 à Césarée, est l'un des principaux Pères de
l'Église. Nous attirons l’attention sur Horapollon,
nom signifiant Horus Apollon (ou Horapollon le Jeune,
Horapollon de Phénébythis),
est un philosophe alexandrin qui a vécu dans la deuxième moitié du Ve siècle.
Eusèbe de Pamphile de Césarée, en latin Eusebius Pamphili (vers 265 – vers 340), évêque de Césarée en
Palestine, est un écrivain, théologien et apologète chrétien. Grégoire de Nazianze, ou « de Naziance », dit
« le Jeune », ou encore Grégoire le Théologien, né en 329 en Cappadoce et mort
en 390, est un théologien et un docteur de l'Église. Grégoire de Nysse, né entre 331 et 341 à Néocésarée
(actuelle Niksar en Turquie), dans la province du
Pont-Euxin, mort après 394, théologien chrétien et Père ecclésiastique. Évagre le Pontique (346-399) est un moine du IVe siècle
dans le désert d'Égypte, premier systématicien de la pensée ascétique
chrétienne.
De même, nous étudierons les derniers philosophes opposés à la nouvelle
religion. Himérios est un orateur et un sophiste
(professeur de rhétorique) du IVe siècle ap. J.-C.
(315-386). Il était proche de l'Empereur Julien, il enseigna à Athènes. Bien
qu'il ait été résolument païen, les auteurs chrétiens du siècle suivant lui ont
donné pour élèves les futurs saints Grégoire de Nazianze
et Basile de Césarée, mais cela n'a rien d'assuré. Claudien (Claudius Claudianus) (v. 370- v. 408) est un poète latin qui écrit
au tournant des IVe et Ve siècles. Il a voulu défendre les dernières tentatives
de sauver l'antiquité. Hypatie d'Alexandrie (Hypatia,
v. 370 – 415 après J.C.) est une mathématicienne et une philosophe grecque.
Description du troisième chapitre
Ce chapitre tentera de formuler la nouvelle opinion selon la division
déterminée de l’Empire. Il analysera le développement de deux pays
indépendants. L’époque a systématisé les gouvernements de tous les empereurs
suivants de l’ouest et de l’est depuis 375 jusqu’à 565. En occident: Flavie
Honorius (395-423), l’usurpateur britannique et gaulois Constantin III
(407-411), Priscus Attalus
(qui s’est proclamé empereur au nord de l’Italie selon l’ordre d’Alaric, où il
régnait de 409 à 410 et en Gaule de 414 à 415), l’usurpateur de 421 Constance
III, Johannes (423-425), Flavius Placidus Valentinianus III (425-455), Pétrone Maxime (455), Avit
(455-456), Maiorianus (457-461), Libius
Severus III (461-465), Procopius
Anthemius (467-472), Olybrius (472), Glycerius (473-474), Nepos (474-475) et Romulus Augustulus (475-476). En Byzance: de nouveau, s’analyseront
les termes des règnes des empereurs Arcadie (395-408), Théodose II (408-450),
Marcien (450-457), Léon I (457-474), Léon Mineur (474), Zénon d’Isaure
(474-491), Anastasie (491-518), Justin I (518-527) et Justinien
(527-565)
Les problématiques religieuses du V et du VI siècles.
Honore n’avait que l’âge d’11 ans et, au-dessus de lui, gouvernait le magister
militum. C’était le vandale Stilichon époux de la
fille de Théodose. Il a triomphé dans la bataille contre le préfet byzantin
Rufin ennemi de Jérôme. Rufin fut tué à Constantinople, car il n’avait pas
statué sur le problème de la frontière entre deux Empires et était
condamné dans l’éréthisme. En 401, Alaric a attaqué l’Italie. Stilichon
a obtenu la paix avec lui et Alaric est devenu l’allié dans la lutte contre
Constantinople. En 408, Alaric a conquis la Pannonie et Norique. Il a exigé
l’argent et les vivres de Rome. Stilichon a exécuté son exigence, car il a
voulu utiliser Alaric dans la lutte contre les usurpateurs. Mais la partie
opposée à Stilichon a triomphé à Rome et Stilichon fut tué en 408. Après son
exécution, deux fois déjà, les goths s’approchaient de Rome. Alors, ils ont
obligé à libérer 40 000 esclaves. À la troisième fois, le 24 août de 410 les
esclaves leur ont ouvert la porte de la cour romaine. Le pouvoir de Rome a
voulu correspondre aux idéaux de la société barbarisée. Cette dernière était
occupée et pillée pendant 3 jours. Alaric arien ne dévastait que les églises.
Ce fragment de notre thèse tentera de dévoiler que la chute de Rome a passé en
410 et seulement formellement en 476. Cette chute a provoqué le retour aux
traditions du néoplatonisme. Les écrivains comme Rutile Namacien
ont voulu réanimer la religion antique. Mais les activistes chrétiens comme le
prêtre Orose et l’évêque Augustin ont interprété la chute de Rome comme la
punition des pécheurs du passé. En 409, les vantaux, les selfs et les élans
avaient occupé l’Espagne et se sont établis au sud ibérique. En 429, ils ont
conquis la plupart de la Numidie et de l’Afrique. Au commencement des années 30
du Ve siècle, Attila s’est mis à la tête des tribus des huns. Il a proclamé
que, depuis la mort d’Honore, l’empereur Valentinien III n’avait pas exécuté sa
promesse et c’était la raison pour laquelle il a dévasté la Gaule. En 451, dans
les champs Catalanes, le général Aëce a obligé Attila
à s’arrêter. En 452, Attila a attaqué l’Italie une dernière foi. Puis, en sa
patrie en 453, il décéda. En 455 les vantaux on mit à sac Rome, alors qu’ils
ont vendu des patrices et l’impératrice Eutocie comme des esclaves. Depuis 472
jusqu’à 475, des patrices tentaient de gouverner sous les noms des jeunes
empereurs. En 475, Oreste a pu couronner son fils Romule
Augustule. Il administrait l’Empire par son nom. Leur chef Odoacre a assassiné
Oreste et a privé le règne de Romulus Augustulus.
Nous rechercherons pour quelle raison le pouvoir impérial s’est transformé en
impuissance et sacrifia sa dignité afin de ne pas perdre le pouvoir spirituel
de dehors.
Culture de religion
Claude Claudien (375 – après 404) fut un grand poète. Il a réuni la
précoce poétique byzantine et la littérature romane avancée. Son chef-d’œuvre
«Enlèvement de Proserpine» détermine le caractère de cette époque. Ce chapitre
étudiera l’héritage littéraire de saint Jérôme (340-420), saint Augustin
(354-430), Sulpice Sévère (363-406), Paul Orose (38—420), Ennode (473-521),
Boèce (480-524/526), Don Aratoire, Bénédicte de Nurse (480-543) et Cassiodore
(485-580). De même, nous dévoilerons les écrivains et les philosophes de
Byzance: Nonnos de Panopolis, Proclos
le Diadoque (412-485), Le Pseudo-Denys l'Aréopagite vecu
vers 490, Agathias le Scolastique (Vers 530 - Vers
580), Cosmas Indicopleustès,
Paul le Silentiaire et Procope de Césarée (vers
500-560).
La problématique de tout le travail
L’idéologie de deux empires ne laisse pas la place à
son origine. Leur empereur pouvait arriver du néant. Leur pouvoir se comprenait
comme le cadeau d’au-dessus. Dans tous les cas, chaque empereur construisait
l’image de la puissance donnée au corps du dehors. Du «néant», d’ «au-dessus», du «dehors»
ce sont trois métaphores. Elles composaient l’image de la monarchie.
L’«Extériorité», l’«Altérité» et l’«Étrangeté» déterminent les conditions de la
dignité des empereurs depuis 284 jusqu’à 527. Au contraire, la démocratie
d’Athènes correspondait à la société. La correspondance du VI au III siècle
avant J. C. et la correspondance inverse depuis III siècle jusqu’au VI siècle
après J. C. sont deux notions absolument opposées. La puissance et la faiblesse
des pays reflètent la force et l’impuissance de sa société.
La centralisation du pouvoir despotique reflète, comme
dans l’épreuve négative, le chaos hétéroclite de la société. Trois types de
pouvoir caractérisent Rome avancée et Byzance. Le premier est la xénocratie ou la barbarocratie.
Il détermine la domination de l’élément ethnique d’autrui. Le deuxième type est
la domination de la caste des fonctionnaires. Elle définit l’élément d’autrui à
la même société. Le troisième type du pouvoir est la théocratie. Cette dernière
détermine l’autorité religieuse d’autrui à la croyance..
Les Visigoths d’Alaric servaient à Rome. Mais ce service n’a pas empêché à
devenir les conquérants. Les dirigeants théocratiques arrivent du néant comme
Bénédicte de Nurse. Il est venu au Monté Cassino de la caverne Subiaco. Les
ordres de Semons de Pilier obligeaient les propriétaires à laisser partir leurs
esclaves, car il obligeait du Néant, de son pilier ascétique. Chaque idée
devenait populaire, alors qu’elle se transformait dans la caricature
inconsciente. On considère que l’origine de cette idéologie est l’image du
prêtre roi Melchisédech du Vieux Testament. Il n’avait ni père, ni mère, ni
généalogie. La limite miraculeuse de la substance sans origine est la figure de
l’eunuque byzantin. Très souvent dans les légendes byzantines, les hommes se
méprennent et perçoivent les anges par les eunuques. Ce fait démontre que très
souvent les hommes percevaient les eunuques par un simulacre d’anges. La
société, qui attache du prix aux valeurs morales, ne verra jamais cette auréole
étrange dans l’image de l’eunuque. Les deux meilleurs généraux de Justinien I Narcèsse (non Narcisse) et Solomon
(non Salomon) étaient des eunuques. Seulement au XI siècle, la féodalisation de
Byzance a obligé les eunuques à se serrer.
Quand l’armée représente la puissance sociale son général doit être le
sien. Si l’armée montre la puissance du pouvoir d’autrui à la société
barbarisée, elle doit récompenser l’impotence sociale. Alors son général peut
être l’eunuque ou le fonctionnaire et pour lui les soldats ne sont que des
instruments étrangers pour parvenir à son but. (S. S. Avérintsev:
"Poétique de la précoce littérature byzantine ", Mouche, Queue 1997)
Il s’agira ici de l’analyse par la société et à travers l’élite de
l’Antiquité avancée. Tous deux ont conduit l’Empire d’Occident à la chute et
Byzance à la caricature de l’Empire Romain.
Le but final
Notre recherche tentera de dévoiler que, en Occident, le manque de bonne volonté à devenir la
caricature a détruit l’Empire Romain. Elle n’a pas permis de se réorganiser
afin d’exécuter l’exigence du temps et pour correspondre à l’altérité sociale.
En Occident, les eunuques ne pouvaient jamais devenir ni prêtres ni généraux.
Aucune des âmes saintes ne pouvaient concevoir que pour s’approcher des
écritures saintes, il aurait fallu manger le papyrus des textes comme on le
faisait en Byzance. C’était la raison pour laquelle la société occidentale ne
s’est pas soumise à l’analogue du pouvoir byzantin. Le pouvoir étranger à la
société est devenu invalide et en 410 les barbares ont mis à sac Rome. Plus
tard, en 476 le pouvoir des empereurs a perdu sa signification. Ce travail
étudiera en profondeur l’histoire des événements, l’histoire de la philosophie
et l’histoire de la littérature de l’Occident et de Byzance jusqu’à VII siècle
pour comprendre et comparer ces circonstances.
Motivation
du premier chapitre
La rédaction de notre
thèse se justifie par la démonstration de la caricature de l’histoire de
l’Antiquité Avancée en Europe et le chemin vers le grand silence médiéval
depuis 284 jusqu’à 565. La tâche de ce travail se concentrera sur la caricature
de toutes les sphères du pouvoir dégradant de l’empereur absolu. Cette
motivation appartient à plusieurs empereurs aux niveaux étrangers à la société
aristocratique. L'origine non de ce monde devient la cause de la caricature sur
l'empire classique. L’origine des monarchies absolues est l'idée maîtresse de
notre thèse. Le bût de sa composition est lié au système du nouveau point de
vue sur la dégradation historique opposée aux développements. Notre motivation
est le nouveau développement de la supposition: pour quelle raison aucun des
premiers monarques absolus n’a pas choisi Rome pour leur résidence. La cause de
composer notre thèse est la première caricature sur l'image classique Roma aeterna qui perdit la particularité politique entre les
empereurs non de ce monde comme Dioclétien, fils des esclaves libérés. La
question «Pourquoi?» devient la racine de la cause de la composition de notre
recherche. La cause enveloppe la réflexion contemporaine comment Dioclétien a
introduit les règles obligatoires du renfort militaire.
La motivation de l'analyse de la
Culture.
La motivation de l’analyse est le
monothéisme absolu des néo-platonismes. Ils condamnaient les chrétiens en voyant
le paganisme sauvage et préhistorique dans la divinisation de l’homme à
l’époque de Dioclétien. La cause de composer ce chapitre est la démonstration
des néo-platonistes que le temps se trouve à
l'intérieur de Dieu Absolu et non dieu hébraïque à l'intérieur du temps. Les néo-platonistes ne pouvaient pas croire que Dieu Créateur
du monde pouvait être fatigué et endormis depuis sa création de l’Univers et de
l’homme. La motivation de ce fragment se fonde sur la dernière réanimation des
traditions antiques, alors que leur monothéisme commence à barbariser le
concept de l’Être Absolu par le monothéisme relatif de la nouvelle religion. La
motivation de ce chapitre est la description de l'agonie du passé. Cette
dernière lutte contre la nouvelle époque dans les héritages philosophiques de Parfirius et de Jamblique de Colchide (283 – 330), Plotin,
Augustin, Boèce, Dénis l’Aréopagite, etc.. La cause de
l'analyse de ce chapitre essaye de démontrer que la nouvelle religion est le
primitivisme de tous les concepts de l'expérience humaine qu'elle soit comprise
entre les masses primitives et rien plus. Le monothéisme de Dieu Absolu est
substitué par le despote et égrégore Iagvé chrétien
qui n'a rien construit que le Globe Terrestre. A l'époque du néo-platonisme, la
terre finie était opposée à l'espace infinie du Cosmos des idées. Les néo-platonistes affirmaient que sans direction de Dieu
Absolu tout disparaît et s'arrête, alors que le dieu despote hébraïque endort
au septième jour comme toutes les créatures astrales et diaboliques. Dieu
Absolu est par tout comme dans tous les temps et il ne peut pas endormir à
l'intérieur du temps dont le faisaient les derniers empereurs. Ils étaient les
caricatures sur le pouvoir et sur la religion en même temps. Notre motivation
s'appuie sur les contradictions au primitivisme, alors que le premiers
chrétiens Clément Alexandrin (tué en 215 par l’ordre de Salomé) et Origène
(185-253) ont essayé de communiquer la nouvelle religion avec l'héritage
antique. Les chapitre des mes études ont l’unique motivation fondée sur les
problèmes historiques depuis IV jusqu’au VII siècle en commençant de la guerre
civile au triomphe depuis Dioclétien jusqu’à Justinien. Leurs relations
négatives et positives au christianisme étaient unies par l’opposition à la
tolérance de l’homme avec la vision qui était vaincu du primitivisme dominé à
la fin de l’antiquité. La motivation de notre analyse est la victoire totale du
primitivisme sur toutes les conséquences positives et négatives. La
thèse développera l’explication suivante du grand silence médiévale en
philosophie et en littérature depuis 565. Notre étude de la problématique de
catégories
(A) se penche sur la connaissance de Dieu (mythe) par la bible sans logique
et sur l’expression de cette dite connaissance par la langue immeuble (expressions
classiques pour tous), alors que l'homme dépendait totalement de la réalité,
ne possédait pas son effectivité et affirmait que l'efficacité humaine
ne vient que du diable. Les trois catégories médiévales rejetaient la reconnaissance
du présent créatif. Le début du Moyen Âge rejette la catégorie de logique,
car le mythe biblique la remplace. Cela nous reconduit vers le
sens (A) des catégories, alors que Cassirer souligne que l'homme médiéval n'a
reconnu ni son efficacité ni son effectivité élémentaire de la logique.
L'Individu et cosmos assimile
la logique et la transcendance, alors que l'une de ces sphères opposées
refuse l'existence de l'autre. L'abîme entre leurs refus fait apparaître une
liaison divine. L'ordre hiérarchique de l'Être laisse l'espace intermédiaire
entre deux mondes opposés. Ainsi, le néoplatonisme révèle étape par étape
l'Être Divin à ce monde mais aussi la matérialisation aux idéaux. Le mythe
(Dieu) est opposé à la langue (explication). La logique était
tuée par Dénis l'Aréopagite dans la même réalité reconnue. Seule la
Renaissance a fait coïncider les mêmes catégories à travers la forme de
l'intuition.

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